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(XIII) Où l’on parle enfin du Londres-Brighton

Le 24 novembre 2010

Au delà des questions que nous posions à notre marchand, tout ce que nous attendions en fait, c’était de pouvoir compléter notre dossier avec le certificat d’éligibilité au Veteran Car Run du Londres-Brighton. Ce document à lui seul pourrait lever les doutes concernant notre demande de reprise de la voiture. Et notre interlocuteur restait apparemment confiant.

A cette époque j’imaginais qu’on obtenait ce fameux passeport un peu de la même façon que la SARL X avait obtenu pour nous l’attestation de la FFVE.

Depuis, j’ai eu a rédiger un rapport à destination du VCR pour notre C.G.V. (Charron, Girardot et Voigt) de 1904. Hé bien, même avec l’assistance au quotidien d’un expert de premier plan, ce qui fut mon cas, quand la voiture est proche de la date fatidique du 31 décembre 1904, c’est un boulot de plusieurs semaines. Et les approximations sont totalement exclues.

Mais bon, à cette époque, encore une fois, j’étais confiant. Ainsi j’accueillais avec un début de soulagement (et quand même beaucoup de circonspection) le courriel que je recevais ce 24 novembre 2010 :

Quand je relis ce texte aujourd’hui, je comprends la déclaration liminaire n’étais qu’un prétexte pour emmener la voiture au contrôle technique mais peut-être ailleurs aussi.