Sur l’attestation FFVE, établie sous les auspices de notre consultant-marchand, la voiture était supposé être immatriculée sous le numéro de série 950. Mais le numéro 950 que nous avions cherché sans succès n’a pas été trouvé non plus par l’expert.
« Le numéro de châssis est plus probablement le numéro « 337 » qui apparaît sur une plaque ovale fixée sur une traverse intermédiaire du châssis «
Pourquoi notre consultant a-t-il choisi ce numéro pour faire établir l’attestation FFVE? Mystère! Il n’y avait aucune raison logique à choisir ce numéro. En effet, nous découvrirons plus tard qu’une Chenard & Walcker de type G et portant le numéro 340 avait était immatriculée (à Bordeaux) le 17 février 1904. Au vu des rythmes de production de l’époque le n°950, s’il a jamais existé, ne pouvait pas être sorti en 1904. Enfin, cerise sur le gâteau, nous découvrirons aussi plus tard que la voiture dont on sait maintenant qu’elle avait déjà été immatriculée, l’avait été sous le numéro de série 337. Je vous livrerai les détails de ces découvertes intéressantes dans mes prochains posts.
Faire aveuglément confiance, réserve parfois des aventures étonnantes. Et c’est pas fini. (A Suivre …)
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